Ce soir, vous pouvez voir sur la chaîne Public Sénat, un débat intitulé « Faut-il avoir peur des ondes ? » à 23H00, débat animé par Laurent BAZIN.
Les intervenants sont :
Marc KHANNE, Réalisateur de « Cherche zones blanches désespérément »
Jean-Pierre MARC-VERGNES, Neurologue de l’Inserm, expert auprès de l’ANSES
Laurence ABEILLE, Députée (EELV) du Val-de-Marne
Erwan SEZNEC, Journaliste à Que Choisir
Étienne CENDRIER, Porte-parole de l’association Robin des Toits
Rediffusion le dimanche à 19h, le lundi à 18h15, le samedi suivant à 16h15 et le dimanche suivant à 11h.
Les ondes sont omniprésentes dans notre environnement, GSM, WiFi, bluetooth, radio … Des voix s’élèvent pour dénoncer la nocivité de certaines d’entre elles. Le sont-elles réellement et à quelle dose ? je n’ai pas trouvé d’étude permettant d’affirmer définitivement si certaines ondes sont nocives pour notre santé. Enfin, sommes nous prêt à nous passer des services associés ?
Lors pas du rachat de SFR par le groupe Numéricable (Altice), une modification du paysage des opérateurs mobiles était prévisible. En effet, le nouvel ensemble SFR-Numéricable doit rapidement dégager des marges importantes afin de rembourser l’emprunt contracté afin de réaliser l’opération de rachat. Une manière simple d’augmenter les marges est de réduire les coûts. Après avoir augmenté les tarifs, mis la pression sur les fournisseurs, la suppression des MVNO était prévisible : pourquoi créer une concurrence inutile ? pourquoi maintenir une structure complémentaire.
Joe Mobile a été créé en Octobre 2012. Il ciblait les utilisateurs avec un usage irrégulier en leur laissant la possibilité de changer de forfait chaque mois, de suspendre temporairement la ligne tout en communiquant avec des conditions commerciales transparentes (qualités quasiment inexistantes dans l’univers des télécoms !).
SFR-Numéricable a pour l’instant préféré le MVNO Virgin Mobile à Joe Mobile, les 2 opérateurs MVNO appartenant au groupe, mais pour combien de temps ? Actuellement, le nom de domaine revoit sur le site de Virgin Mobile.
Une question légitime vient à l’esprit : quel avenir pour les opérateur MVNO ? ils sont sous la coupe via les offres tarifaires de l’opérateur de réseau. Une modification de l’offre, une augmentation tarifaire et le fragile équilibre est remis en cause.
Les premiers à s’inquiéter sont les opérateurs MVNO appartenant au groupe Numéricable. La rationalisation en cours et le souhait de voir une concurrence moins forte va faire encore bouger les lignes dans les prochains mois. Par exemple, Futur Télécom a t’il une réelle plus value par rapport à SFR ?
Les opérateurs indépendants du point de vue du capital du groupe Numéricable doivent aussi se poser des questions. Ils dépendent complètement du point de vue technique du réseau de SFR. Rien ne les assurent qu’une revalorisation de contrat n’est pas en train d’être envisagée avec les avocats du groupe ? Peut-être q’une offre « généreuse » de rachat est même déjà préparée …
Une chose est sure : l’avenir pour les opérateurs mobiles sans réseau n’est pas dégagé notamment pour ceux s’appuyant sur le réseau de SFR.
nPerf est un éditeur spécialisé dans les applications web et mobiles permettant de tester les connections internet en réalisant un test de débit. L’application existe sous forme d’application mobile pour IOS et Android où d’un site web.
Ce qui est intéressant, c’est le fait que l’éditeur met à disposition des internautes une carte permettant de détailler la couverture des réseaux mobiles en France par opérateur, mais aussi dans d’autres pays. Deux modes de visualisation sont possibles : la couverture réseau (détaillé par un code couleur : 2G, 3G, 4G ou 4G+) ou les débits de réception.
Il est malgré tout important de prendre en compte que la carte est construite avec les données issues des mesures réalisées avec les application de nPerf et ne tient compte aucunement des données de couverture des opérateurs. Les chiffres sont à prendre avec du recul, car selon le terminal utilisé et la sensibilité de celui-ci (donnée extrêmement variable d’un modèle à l’autre) la couverture et le débit peuvent être différent d’un utilisateur à l’autre.
Autre élément à ne pas négliger : le nombre de données collectées peuvent être insuffisante sur certaines zones géographiques pour pouvoir tirer des conclusions. Les données issues de la région parisienne sont en effet plus proche de la réalité que celles de la Creuse par exemple.
Les données de couverture réseau me semble aussi plus intéressantes et fiables que celles concernant le débit (quand je compare avec d’autres cartes résultant de mesures d’autres sources). Cela vient du fait du volume de données collectées 10 millions pour la couverture pour seulement 66k pour le débit de réception (pour l’opérateur Bouygues Télécoms).
Il faut aussi s’assurer que les données ne sont pas trop anciennes, car les couvertures des opérateurs évoluent régulièrement (plus ou moins vite selon les opérateurs, leurs efforts d’investissement, leur retard à rattraper …). La encore, la couverture donne des informations plus fiables (collecte des données sur 7 mois contre 1 an pour le débit).
Téléphone jolla : mes premières impressions après une semaine d’utilisation du système d’exploitation Sailfish OS et du matériel Jolla.
Pourquoi le téléphone Jolla
Voilà une bonne semaine maintenant que je teste le téléphone Jolla tournant sous SailfishOS. Jolla a été créé par des anciens de Nokia refusant la stratégie du tout Microsoft et l’abandon des investissements fait sur un OS mobile basé sur linux et le fameux N900. J’ai toujours apprécié le sérieux des produits Nokia, la qualité de l’accroche réseau (qui à tendance à être de moins en moins bonne sur nos smartphones) et une certaine idée du respect des consommateurs. Maintenant que l’entité mobile de Nokia est devenu Microsoft, les principes s’éloignent peu à peu. J’ai essayé plusieurs Nokia sous Windows Phone (1020, 625 et 635) sans être complètement convaincu. A part le premier Iphone qui a révolutionné le monde du mobile, aucun smartphone ne m’a réellement emballé, soit par manque de stabilité, soit pour un manque de réactivité, soit par une autonomie faiblarde, soit par une accroche réseau défaillante … Le premier Nokia sous Windows Phone que j’ai eu, le 625, malgré quelques limitations, m’a permis de retrouver un smartphone d’une bonne qualité (n’étant pas un grand fan des différentes applications mobiles, un manque de celles-ci sur un store ne me gène pas outre mesure, celles que j’utilise sont en général présentes). Le 635 fut une grosse déception (stabilité, appareil photo, batterie et stabilité mais plus fluide que le 625) ainsi que le 1020 (accroche réseau déplorable, batterie très faible).
Après la campagne de Crowdfunding réussie de Jolla pour sa tablette (j’attends la mienne avec impatience, surtout quand on voit la démo de Sailfish 2.0 ), je me suis laissé tenté par le téléphone Jolla. J’apprécie le fait de pouvoir changer la batterie sans avoir à acheter un nouveau téléphone, un design épuré, un système respectant mieux la vie privé que IOS ou Android, une conception européenne par des gens d’expérience. Voilà, mais quant est il après une utilisation dans la vraie vie.
Téléphone Jolla : qualités et défauts
Bien entendu, le téléphone Jolla a des qualités et des défauts. Premièrement, la prise en main est excellente, j’aime le design, l’interface dépouillée, la réactivité et la stabilité du système d’exploitation. L’accroche réseau me semble excellente (je ne suis pas encore allé dans certains coins permettant de repousser les limites), les fonctions téléphoniques bien pensées même si je regrette l’absence de messagerie vocale visuelle (j’en développerais peut-être une) et la notification de message sur le répondeur (il y a un problème sur certains réseaux) non fonctionnelle (même s’il y a une solution, mais non soutenue officiellement). La fonction modem que j’utilise beaucoup est très efficace. Enfin, l’autonomie me semble excellente (à vérifier dans la durée). Enfin, il est possible d’accéder aux applications Android. Celles que j’utilise fonctionnent très bien et sans ralentissement (certaines marchent mieux que sous Windows Phone !!!)
Pour les points négatifs du téléphone Jolla, le navigateur web mérite de gagner en ergonomie (la nouvelle version corrige une partie des reproches, mais il reste encore du travail) et l’application mail d’une fonction de recherche performante (même si la lecture des mails est un bonheur).
Conclusion
Voici mon premier retour d’expérience du téléphone Jolla, après une bonne semaine d’utilisation. Je ferais une évaluation plus détaillée après un usage un peu plus long. En conclusion, pour ceux qui souhaite un téléphone pour téléphoner avant tout, le téléphone Jolla est un excellent choix. Pour ceux qui souhaitent un smartphone pour jouer et surfer sur le web, peut-être qu’un téléphone avec un écran plus grand (pour moi c’est la bonne taille 😉 ) et un navigateur web plus ergonomique serait une meilleure solution.
Vous souhaitez un téléphone sous Firefox OS, lisez cet article. Liste de téléphones, installer Firefox OS sur votre téléphone.
Vous souhaitez utiliser un téléphone sous un OS libre. Firefox OS est le système qu’il vous faut, mais vous ne savez pas quel téléphone choisir. On n’entend parler que du ZTE Open C, et à juste titre car c’est le seul disponible en France à ce jour.
Mais si vous êtes un peu patient, vous pourrez choisir entre un Alcatel, un LG, un Hawei, un Intex, un Spice ou d’autres ZTE.
Perso, j’aime bien le LG Fireweb :
Ecran de 4″ HVGA, caméra 5 Mpx avec flash LED, 8 heures d’autonomie en appel (744 heures en veille), cpu 1Ghz, mémoire vive de 512Mo, poids correct – 122g-, GPS, réseau 2G et 3G, bluetooth 3.0, wifi et radio. Pour le moment, il n’est disponible qu’au Brésil et l’Uruguay.
Le deuxième appareil ayant attiré mon regard, est l’Alcatel One Touch Fire E. Des specs là aussi intéressantes : écran de 4,5″ QHD, caméra 5Mpx, processeur double coeur 1,2Ghz et 512Mo de RAM. Il n’est disponible qu’en Allemagne, République Tchèque et Pologne.
Et pour finir, si vous vous sentez l’âme d’un développeur d’applications pour Firefox OS (si, le marché va augmenter), il vous faut acquérir le Flame. C’est l’appareil de référence. Quelques spécs : processeur dual core 1,2GHz, 1 GB de RAM, écran de 4,5″ FWVGA, dual SIM (j’en connais que ça va intéresser), WiFi, 3G, GPS, bluetooth 3.0, caméra 5 Mpx autofocus avec flash, caméra frontal, NFC (bouh !), radio FM … pour un poids de 120g. Vous pouvez l’acheter chez everbuying pour 170$ (environ 130 €)
Vous pouvez aussi installer Firefox OS sur un téléphone fourni nativement avec un autre OS. C’est le cas du HTC HD2. Tout ne fonctionne encore pas, mais si vous souhaitez aider à la correction des bugs, le fil est sur xda-developers. Si vous avez un Nexus 4, il existe une version fonctionnelle. Vous trouverez les sources ainsi que le mode opératoire, sur ce thread : FirefoxOS Nexus 4 . N’ayant aucun de ces téléphones sous la main, je n’ai pas pu tester.
Je viens de finir le MOOC « Introduction aux réseaux mobiles » dispensé sur la plateforme FUN (France Université Numérique) par Mines Télécoms.
Introduction
Tout le monde connait maintenant les MOOCs (Massive Open Online Courses). C’est un excellent moyen de pouvoir acquérir de chez soi, ou de son entreprise, le soir ou le WE (pour ceux qui travaillent) de nouvelles connaissances.
Je viens de finir le MOOC « Introduction aux réseaux mobiles » dispensé sur la plateforme FUN (France Université Numérique) par Mines Télécoms. L’Institut Mines-Télécom, pour ceux qui l’ignore, est un acteur majeur public de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation dans les domaines de l’ingénierie et du management.
8 semaines de formation intense, avec chaque semaine un devoir à rendre.
Objectifs du MOOC
Voici le teasing officiel :
« Vous connaissez GSM, 3G ou LTE ? Venez découvrir ce qui se cache derrière ces sigles et comprendre comment fonctionnent ces réseaux qui vous permettent d’accéder à l’Internet et de communiquer, que vous soyez en ville ou à la campagne. Les objectifs de ce cours sont les suivants : connaître les principes généraux communs aux réseaux cellulaires comprendre l’architecture des réseaux cellulaires et ses composantes principales : le réseau d’accès et le réseau-cœur : illustration avec GSM et LTE assimiler les principes de l’interface radio des réseaux cellulaires connaître quelques procédures radio de base connaître les évolutions prévues des réseaux LTE Format : ce cours intègre des vidéos et des quizz sur 8 semaines. Le volume horaire a consacrer à ce cours avoisine les 40h. »
Mon objectif était de mieux connaître le fonctionnement des réseaux mobiles, notamment ceux de la quatrième génération.
Plan du MOOC
Semaine 1
en ligne à partir du 18 février
Introduction
Architectures de réseaux cellulaires (Partie 1/2)
Architectures de réseaux cellulaires (Partie 2/2)
Services et régulation
Devoir Semaine 1
Semaine 2
en ligne à partir du 25 février
Le réseau téléphonique et ses évolutions
Sécurité (Partie 1/2)
Sécurité (Partie 2/2)
Devoir Semaine 2
Semaine 3
en ligne à partir du 4 mars
Gestion de la mobilité
Établissement d’un appel
Intégration des réseaux intégrés paquets (facultatif)
Devoir Semaine 3
Semaine 4
en ligne à partir du 11 mars
Introduction seconde partie
Propagation
Fondamentaux de communication numérique
Devoir Semaine 4
Semaine 5
en ligne à partir du 18 mars
Réseau cellulaire régulier
Analyse d’un réseau cellulaire
Etude d’un modèle théorique plus fin
Devoir Semaine 5
Semaine 6
en ligne à partir du 25 mars
Interface radio : Multiplexage
Devoir Semaine 6
Semaine 7
en ligne à partir du 1er avril
Transmission sur l’interface radio
Devoir Semaine 7
Semaine 8
en ligne à partir du 8 avril
Canaux de contrôle Handover
Examen final
Remerciements
Je tiens tout particulièrement à remercier Xavier Lagrange et toute l’équipe pédagogique du département « Réseau, Sécurité et Multimédia » de Télécom Bretagne pour la qualité des enseignements et de l’immense travail fourni.
Conclusion
Il existe maintenant nombre de MOOCs d’excellente qualité et ceux présents sur la plateforme FUN (France Université Numérique) en font partie. Si on souhaite réellement acquérir les notions exposées dans les formations, il est nécessaire de réaliser des travaux personnels, soit de synthèse, soit de recherche (Les devoirs de ce MOOC vous imposent de réaliser quelques travaux personnels sous peine d’obtenir une note très très moyenne).
Suite à cette formation, je ne suis pas expert en réseau mobile (mais la formation donne envie d’aller plus loin – pourquoi pas un cours spécifique LTE), mais l’objectif est bien atteint. Je comprends maintenant le fonctionnement d’un réseau mobile, les différences techniques entre les générations de réseaux mobiles et les contraintes d’architecture d’un réseau sans fil.
Je suis heureux d’avoir validé cette formation d’excellente qualité, le temps passé m’ayant permis d’acquérir de nouvelles compétences. (J’attends mon certificat avec impatience 😉 , toute labeur méritant récompense )
Pour ceux qui sont intéressés, une nouvelle session est prévue en septembre 2014.
développement d’une application windows phone pour piloter une alarme Meian
Je me lance dans un nouveau projet, le développement d’une application Windows Phone pour piloter une alarme Meian. L’objectife de ces articles est de vous faire partager l’évolution du projet au travers de ces différentes phases de l’analyse des besoins à la livraison. Comme je fais ce projet sur mon temps libre, le délai sera plus ou moins long selon mes disponibilités (On gagne du temps, car du fait de mon entorse au genou, certains sports comme le kite et le surf me sont encore interdit quelques longues semaines – j’espère pas pour des mois 🙁 ).
Je vais commencer par faire une analyse des besoins. Quelles sont les fonctions que doit remplir cette applications ?
Définition du projet
Objectifs de l’application
L’objectif principal est de piloter à distance via son terminal Windows Phone son alarme Meian. L’objectif secondaire est de recevoir les notifications de l’alarme.
Périmètre du projet
Il n’y a en ce moment aucune application Windows Phone permettant d’atteindre ces objectifs. Il existe une application pour android et une application iphone, mais rien pour la plateforme de Microsoft.
L’application sera disponible via le store de Windows Phone (j’ai un compte développeur, ne vous inquiétez pas). Elle sera gratuite et sous licence GPL v3. A vérifier d’ailleurs si c’est compatible avec les contraintes de Microsoft (et un ToDo de plus).
Fonctions principales
Vérifiez le statut de l’alarme.
Activer l’alarme total
Activez l’alarme partiel
Désactivez l’alarme
Appeler un numéro d’urgence
Consulter l’historique
Recevoir les notifications de l’alarme : activation, désactivation, déclenchement
Fonctions contraintes
Sécuriser l’accès aux paramètres
Activer (en option) un code secondaire pour sécuriser la désactivation de l’alarme à distance (protection en cas de vol du terminal)
Sécuriser le lancement de l’application par la saisie d’un code au démarrage (en option)
Fonctionner sous Windows Phone 8 et 8.1
Et maintenant
Je pense n’avoir rien oublié, mais l’analyse de besoin est pour le moment encore ouverte, et peu même évoluer au cours du projet (je suis en mode agile, pour le connaisseurs 😉 )
C’est fini pour l’analyse fonctionnelle dans un premier temps, mais si vous avez des idées complémentaires, n’hésitez pas à les soumettre en commentaire. Dans le prochain article, je ferai une analyse de l’existant (application Android et Iphone).
Quelles sont les versions android les plus utilisées ?
Introduction
Devant la large gamme des terminaux tournant sous android commercialisée, il est intéressant de se poser la question des versions réellement utilisées (permettant de voir aussi les mises à jour) et quelles sont les écrans utilisés. En tant que développeur, cela permet de se concentrer sur les combinaisons les plus utilisées. En tant qu’homme de la sécurité, cela permet aussi de se poser la question de l’information des utilisateurs sur l’importance de faire les mises à jour.
Quelles sont les versions utilisées ?
Il ressort que la dernière version, KitKat sortie en Octobre 2013 (Révision 1) représente plus de 5% des terminaux en usage, mai aussi que les versions 2.3.X dont la dernière révision est sortie en Mai 2011 représente encore presque 18% des terminaux. On voit toute la difficulté qu’on les développeurs pour développer des applications pour le plus grand nombre, et je ne parle que de la version Android. allons voir maintenant, les écrans.
Quels sont les écrans les plus utilisés ?
Tout d’abord, un rappel de la classification des écrans faite par Android :
et maintenant la répartition :
J’ai volontairement supprimé la dimension densité, car cela compliquerait trop des stats. Il en ressort que les écrans autour de 4 pouces sont les plus utilisés, ce qui correspond à la majorité des mobiles en vente actuellement. Il est intéressant de noté que dans la catégorie Normal, la densité la plus utilisée est la hdpi (33,7%) suivie par xhdpi (19,8%) et enfin mdpi (13,2%) qui représente l’entrée de gamme.
Conclusion
La variété des versions Android en production est importante est rend difficile le développement d’une application pour tous les terminaux Android. Il sera intéressant de voir les évolutions futures de ces chiffres.