Part de marché des services fixes de haut débit en France – 3ème trimestre 2014

L’ARCEP, l’autorité de régulation des communications électroniques et postales, vient de publier les derniers chiffres concernant le marché des télécommunications électroniques des services fixes haut et très haut débit pour le troisième trimestre 2014.

Le marché est en constante croissance d’une valeur annuelle de +4% (+ 1 million de lignes sur 1 an).  L’ARCEP insiste sur le fait que la croissance est soutenue par les liaisons à très haut débit (liaisons supérieures à 30Mbits/s) dont la croissance est de 34% en un an.

évolution nombre abonnements haut débit en france

Le nombre d’abonnements internet à haut et très haut débit sur réseaux fixes inclut les abonnements xDSL, câble, fibre optique, BLR, satellite et wifi. Enfin, sont comptabilisés comme des abonnements très haut débit les accès à internet dont le débit crête descendant est supérieur ou égal à 30 Mbit/s quelle que soit la technologie support.

Si on analyse ces chiffres avec les éléments déclarés par les opérateurs, on obtient les parts de marché suivantes pour le troisième trimestre 2014 (La catégorie « autres » est calculé en prenant le total ARCEP défalqué des totaux publiés par les  opérateurs : Orange, Free, SFR, Bouygues et Numéricable) :
  • Orange : 40,00 % (croissance annuelle de 2,1%)
  • Free : 22,61 % (croissance annuelle de 4%)
  • SFR : 20,32 % (croissance annuelle de 0,2%, mais décroissance depuis début 2014 !)
  • Bouygues Télécom : 9,03% (croissance annuelle de 19,5%)
  • Numéricable : 4,21 % (croissance annuelle de 6,3%)
  • Autres : 3,83 % (croissance annuelle de 16,3%)
Parts-de-marche-T3-2014-haut-debit
Il fat noter la décroissance de SFR qui s’explique par la revente à Numéricable (qui fait de cette dernière le 2ème acteur sur la place) et la poussée de Bouygues Télécom (en recrutement net au 3ème trimestre est premier avec 378 lignes, devant Free avec 225 et Orange avec 212).

Neutralité du Net : vote au Parlement européen – notre nécessaire mobilisation

La quadrature du net vient de publier un article concernant le prochain vote au parlement européen touchant la neutralité du net (et les propositions de la commissaire européenne en charge du dossier ne vont pas dans le bon sens ! 🙁 )

 

Cet article détaillé vous explique les différents éléments mettant en danger la neutralité du net et les actions envisagées.

Je vous encodage à lire cet excellent article :

http://www.laquadrature.net/fr/vote-sur-la-neutralite-du-net-au-parlement-europeen-les-eurodeputes-doivent-proteger-internet

ADSL ou SDSL que choisir ?

Comment expliquer la différence de prix entre un abonnement ADSL ou SDSL ? quels sont les points communs et les éléments qui les différencient ? avantages et inconvénients ?

De manière récurrente, les clients se demandent quel est la différence entre un lien ADSL et un lien SDSL (en dehors de la première lettre, bien entendu ;-) ). Je vais essayer de répondre à cette question de manière aussi complète que possible.

Table des matières

ADSL

L’ADSL propose un débit asymétrique (le A veut dire Asynchronous). Le débit download est plus important que le upload. En résumé, les téléchargements depuis internet sont plus rapides que l’envoi d’un fichier à un correspondant en dehors de l’entreprise. Dans une utilisation de surf et d’email standard, ce type de débit est largement suffisant car le download est la valeur la plus importante. Pour vous donner une idée, l’ADSL Max propose un download allant de 608 kbit/s (en ATM) à 10 272 kbit/s mais un upload allant de 384 kbit/s à 1024 kbit/s ! Le débit varie selon la « qualité » de la ligne analogique (la paire de cuivre pour être précis, raccordant votre routeur au DSLAM de l’opérateur).

SDSL

Un lien SDSL propose lui un débit symétrique plafonnant à 2048 kbit/s par paire. Sur 4 paires, un débit de 8192 kbit/s est proposé. Il convient mieux dans le cadre de l’hébergement de serveur sur le site ou d’applications utilisant des flux symétriques comme la voix sur IP ou la visioconférence sur IP.

Les débits

Un autre élément différenciateur très important est la garantie du débit. Il n’y a pas de garantie de débit sur l’ADSL alors que le débit d’un lien SDSL est garanti (soit à 100% du temps soit à 95% du temps avec un débit plus faible garanti 100% du temps). Les puristes vont me parler des offres ADSL à débit garanti, mais qui ne sont plus guère commercialisées. En effet, un lien ADSL 2048/250 vaut le même prix (en mensuel et en frais d’accès au service) qu’un lien SDSL 2cS (2048/2048), d’autant plus qu’aujourd’hui l’upload est aussi important que le download, mais je me devais d’apporter cette précision.

Les garanties de rétablissement

En cas de coupure, il est crucial pour une entreprise qui est de plus en plus dépendant de son accès haut débit d’être rétabli rapidement. Un lien SDSL est accompagné d’une garantie du temps de rétablissement de 4H (GTR) en heures ouvrées ou non ouvrées en option. Pour un lien ADSL, la garantie est du « best effort ». En réalité, le rétablissement est en moyenne d’une journée dans le cas d’une panne franche et continue. (Il existe récemment une option de GTR 1 J en revente France Télécom, mais les pénalités assorties en cas de non respect sont ridicules, ce qui me fait douter de la performance de cette GTR). Le problème du rétablissement de pose en cas de bagottement, ou de défaut de la paire de cuivre (la responsabilité n’est plus celle de l’opérateur mais du service SAV de la ligne analogique du client. Selon l’option choisie, le délai varie de 4H à 48H). Il faut malgré tout noter, que les problèmes sont rares et dans 90% des cas rapidement résolus. Mais, il faut savoir que pour une minorité de cas, le délai de rétablissement peut dépasser la semaine !!!

Autres différences

Une autre différence importante, la paire de cuivre est dédiée pour un lien SDSL tandis que pour un lien ADSL, elle peut-être partagée avec un téléphone ou un fax. Ce qui peut poser problème en cas de dégradation du filtre ou du terminal analogique en injectant des parasites sur la ligne. En cas de bagottement d’un lien ADSL, le bon réflexe est de débrancher tous les équipements analogiques raccordés sur cette même ligne et de changer le filtre. Cela résoud souvent le problème.

Un lien SDSL est une connexion continue tandis qu’un lien ADSL est une connexion à la demande. Le routeur ADSL monte un tunnel L2TP entre lui et l’équipement de l’opérateur. Cette session est réinitialisée au bout de 24H. Ce phénomène est en général transparent pour l’utilisateur sauf dans le cas où il est en communication téléphonique via un téléphone IP, ou il est en train d’effectuer une sauvegarde sur un serveur distant.

D’autres caractéristiques techniques plus pointues sont à prendre en compte, notamment dans le cadre de projet de voix sur IP ou d’hébergement de serveur de type Citrix ou TSE. Le temps de réponse, la gigue et la perte de paquets sont 3 paramètres qui sont meilleurs sur un lien SDSL que sur un lien ADSL, même si le réseau de l’opérateur a une influence importante sur la fluctuation desdit paramètres. Par exemple, sur un lien ADSL, j’ai mesuré des temps de réponse moyens de 80 ms alors que sur un lien SDSL 20 ms.

Prix

Le critère prix est aussi un autre élément important différenciant. Alors qu’un lien ADSL entreprise coûte en moyenne 45 €, un lien SDSL commence à 140 €.

Conclusion

Le choix du type de lien doit se faire selon plusieurs critères : la criticité du site raccordé, les différents flux que doit transporter le lien, le nombre d’utilisateurs simultannés sur site par application, le nombre d’utilisateurs extérieurs au site se connectant aux applications hébergées et bien entendu le budget. Il peut être judicieux d’aggréger plusieurs liens d’opérateurs de boucles locales différents et de mettre en place des mécanismes de failover, de load balancing et de gestion de la qualité de service évoluée (attention, tous les types de flux ne supportent pas ces mécanismes, et la mise en oeuvre est complexe).

J’espère que ces éléments vont vous permettre de mieux choisir le type de vos liens. Je n’ai pas abordé la fibre optique, car le budget la réserve à des besoins de débit supérieurs aux possibilités actuelles du SDSL.

Lightbeam : voir les sites qui nous traquent à notre insu

Vous en avez marre de ces sites qui ne respectent pas votre vie privé, soit pas incompétence soit par volonté. J’espère que vous utilisez Firefox et une ectension bloquant les cookies un peu trop curieux et bavard. Mais, une autre extension de Firefox permet de vous montrer visuellement avec quels sites vous communiquez sans le savoir !

Firefox définit ainsi cette extension :

Lightbeam est une extension pour Firefox qui fait appel à des visualisations interactives pour vous montrer avec quels sites tiers vous communiquez sans le savoir. À mesure que vous naviguez, Lightbeam vous révèlera les coulisses du Web d’aujourd’hui, y compris les parties les moins visibles pour l’utilisateur moyen.

L’installation est très simple, comme n’importe quelle extension. A noter, qu’il n’est pas nécessaire de redémarrer votre navigateur.

Comment fonctionne Lightbeam ? L’extension tourne en tâche de fond et collecte des statistiques sur chaque site visité et des sites tiers liés. Ensuite, vous pouvez voir graphiquement avec catastrophe vos données que vous échangez avec des tiers à votre insu. Pour cela, allez dans le menu de Firefox, et cliquez sur « show lightbeam ». Un nouvel onglet va s’ouvrir.

Après avoir visité 3 sites, voilà le résultat :

Comme je bloque les cookies, les fuites ne sont pas aussi importantes, mais via les plugins analytics et autres, les données sont quand même transférées vers d’autres sites sans mon accord. Faites le test de votre côté et comparons !

On voit que le journaldunet partage des informations avec 7 sites ! Quand on additionne la somme des sites vus dans une journée, le partage de données non souhaité devient insoutenable.

Comme nous disaient nos parents quand on était encore jeune, sortez couvert.

Pluxml : créer un thème – Partie 1

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Pluxml est un moteur de blog sans base de données basé sur les technologies php et xml. Je vais vous expliquer comment créer votre propre thème (c’est plus sympa d’avoir son blog à soi qui ne ressemble pas à celui du voisin ?). La partie 1 explique comment réaliser son design, mettre en musique ces idées.

1 – Introduction :

Afin de pouvoir suivre ce tuto, il est necessaire d’avoir des notions de php et d’html.

2 – Définir sa page d’accueil :

Le wireframe

Avant de se lancer directement dans le code (attendez un peu avant de lancer votre sublime text préféré, quelle impatience!), nous allons tout d’abord dessiner sur une feuille de papier notre page d’accueil. Nous allons faire ce qu’on appelle un « wireframe« . Nous allons donc dessiner des blocs dans lesquels viendront s’intégrer les fonctions souhaitées : un bloc pour le header, un bloc pour le menu, un bloc pour la side bar avec ses blocs intégrés …. Voilà un exemple simple :

Voici une autre possibilité :

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Je vais vous proposer un autre webdesign surlequel nous allons travailler pour la suite de ce guide. J’ai supprimé le slideshow, mais on pourra en intégrer un dans un des 3 blocs sous le menu :

On retrouve un header comprenant un logo, un titre, un slogan, des boutons sociaux, un menu ainsi qu’un champ de recherche, un footer qui sont les 2 éléments que nous allons retrouver sur toutes les pages. La partie centrale changera selon la page, selon si l’on souhaite ou non une sidebar.

Pour la page d’accueil, j’ai retenu une première ligne avec 3 blocs qui pourront contenir au choix, une image, du texte, une vidéo, une liste d’articles, des liens, un slideshow … Cette ligne est suivi par 2 blocs, un bloc central contenant les articles et une sidebar contenant du contenu à définir.

Le webdesign

Pour notre webdesign, nous n’allons pas réinventer la roue. Nous allons utiliser un framework css/javascript réputé : j’ai nommé Twitter Bootstrap. Pour cela, je vais utiliser un service en ligne vraiment sympa, LayoutIt!. Je place mes blocs comme je le souhaite, et je peux les tester sur différents supports.

On verra l’intallation proprement dite un peu plus tard, nous allons juste maintenant intégrer de manière graphique (non codée) les éléments de bootstrap dans notre wireframe précédemment créé. Voilà ce que cela donne : http://bit.ly/1aj224P

Vous pouvez tester le design sur différent support, il est entièrement responsive (il s’adapte au support téléphone, tablette ou grand écran).

On peut télécharger le code complet générer. Dans le zip, vous trouverez les fichiers css, js et html. Cool ! Mais on verra plus tard, qu’il faudra retravailler le css, intégrer des js complémentaires selon nos besoins et adapter les fichiers html à nos besoins et à Pluxml.

3 – Les autres pages :

Maintenant que notre page d’accueil correspond parfaitement à nos souhaits, il va falloir travailler les autres pages. Quelles sont ces pages :

  • archives
  • article
  • erreur
  • statique

Bien sûr, vous pouvez créer plusieurs templates différents pour les articles ou les pages statiques. En suivant les mêmes étapes de création que pour la page d’accueil, je vous laisse créer vos webdesigns (c’est simple, et c’est un bon exercice).

Voici la fin de la partie 1. Il nous reste à voir le découpage des fichiers afin de répondre aux besoins de pluxml, adapter notre webdesign à pluxml, intégrer les différentes fonctions pluxml. D’ici, là faite vos propres wireframe et webdesign.

Darty box acheté par Bouygues Télécom

Bouygues Télécom et Darty Télécom annonce ce matin un accord.

Cet accord comprend deux principaux volets :
– le rachat de Darty Télécom qui distribue l’offre de triple play (internet, téléphonie et télévision) Darty Box basée sur le réseau de Completel et Darty Mobile.
– un accord de distribution des offres de Bouygues Télécoms par les 226 magasins Darty. Dans le cadre de cet accord, le service client sera géré par Darty pour les abonnements vendus par Darty.
Darty Télécom compte 300 000 abonnés fixes et 40 000 abonnés mobiles ce qui porterait le nombre d’abonnés mobiles Bouygues à 1,5 millions.
Cette annonce permet de mieux comprendre le souhait de Bouygues Télécoms de renégocier ses contrats actuels de distribution à la baisse. Bouygues axe sa stratégie dans le renforcement du service client et de la proximité. A quand la maîtrise d’un réseau fixe en propre (rachat de Completel / Numéricable prochaine étape ?)

SFR, puis Virgin lance la guerre du quadruple play

Hier, SFR a lancé de nouvelles offres à durée limitée de ses neufbox (triple play et quadruple play). Aujourd’hui, Virgin lance ces offres de box avec des tarifs agressifs. Annonciateur de l’axe marketing qui est en train de se dégager, Virgin ne lance que des offres quadruple play, c’est à dire internet + téléphonie fixe + téléphonie mobile + TV. Les offres se positionnent en frontal avec celles de Freebox + Free mobile. Le choix est par contre plus large.

Vers une hausse du prix des box ADSL ?

Les opérateurs grands publics vont voir leur régime de TVA modifié. En effet, ils appliquaient alors sur le prix de vente, la moitié du montant à une TVA de 5,5% et l’autre à 19,6%.

Faisons un peu d’histoire : il y a quelques années de cela, la TVA sur ces même produits était à 19,6% pour un prix de vente TTC égal à celui d’ajourd’hui. Les experts financiers des opérateurs ont déniché une loi européenne leur permettant d’appliquer une TVA à 5,5%. Ils ont décidé, que cette TVA s’appliquerait sur 50% du montant HT sans baisser le TTC. Autant de bénéfices en plus.
Alors que aujourd’hui, ils parlent d’augmenter le prix TTC à cause de la modification du régime de TVA !!!
Si on y regarde de plus près, l’ARPU (le revenu moyen par utilisateur) ne cesse d’augmenter, les investissements sont stables et une partie des infrastructures amorties.
Le marché lui est homogène avec un prix de vente à 30 euros. Ne sommes nous pas proche du marché du mobile qui a dû faire face au foudre de la commission pour la concurrence ?

Heureusement, quelques petits opérateurs proposent des solutions innovantes soit en tarif soit en offres techniques. Bon vent à eux.

DSL : non éligible ! quelles solutions ?

Toutes les entreprises ont besoin d’un accès haut débit. Malheureusement, la fracture numérique est bien réel. Les efforts afin de la réduire existe, mais la tâche est maintenant énorme. Vous avez oublié lors du choix de vos nouveaux bureaux de faire un test d’éligibilité et lors de la consultation des opérateurs, la réponse fut cinglante : NON ELIGIBLE. Ne vous inquietez pas, il y a des solutions.

Table des matières

Introduction

Ne rêvez pas, il n’y a pas de solution à 30 euros par mois. Mais, il existe des solutions permettant d’héberger des applications et de fournir un excellent débit à vos nomades ou aux sites distants. J’exclus le WiMax, car malheureusement les opérateurs sont très en retard sur le déploiement et les offres (hors Altitude sur la Normandie et la Vendée par ex) traîne à venir.

La fibre optique

La première solution est la fibre optique. Les collectivités locales ont déployé de la fibre afin de proposer du haut débit dans des zones pas forcément couvertes. Ces fibres ne sont pas exploitées en propre par les collectivités, mais par des opérateurs délégataires, les DSP. Vous pouvez ainsi avoir accès à du très haut débit si vous avez la chance d’être proche d’un foureau. Vous trouverez des offres entreprises à partir de 850 €HT/mois.

Le CN2

La deuxième solution est le CN2. CN2 veut dire Conduit Numérique 2Mbit/s symétrique. Ainsi, sans contrainte d’éligibilité, une entreprise peut avoir une liaison symétrique de 2M correspondant à une SDSL 2M. Le tarif est plus élevé que le SDSL, les offres commençant vers 800 €HT/mois.

Conclusion

Vous pouvez souscrire soit à la fibre optique, soit au CN2 afin d’avoir accès à internet, héberger des applications ou déployer de la VoIP dans des conditions excellentes.

WiMax, même mort que la Boucle Locale Radio ?

En d’autres temps, la boucle locale radio devait changer le paysage français du haut débit. Quand reste t-il aujourd’hui ?
Je souhaite faire un point sur le WiMax alors qu’il est reconnu d’utilité publique d’apporter le haut débit sur l’ensemble du territoire. Le WiMax devait être la technologie permettant de répondre à cette attente.

Où en sommes nous dans le calendrier des déploiements ? Très en retard, comme l’atteste le rapport publié en avril dernier par l’ARCEP faisant un bilan des engagements pris par les opérateurs titulaires de licences au 31 décembre 2008. : A lire ICI .

Les chiffres sont très insuffisants notamment pour la couverture des zones blanches.

Il est vrai que le WiMax est une technologie coûteuse à déployer et à exploiter. Les réseaux WiFi pour l’accès sont beaucoup moins onéreux. Dans certains pays, les backbones sont réalisés en WiMax et l’accès en WiFi. Sûrement un exemple à suivre si on souhaite la survie du WiMax, à moins que les collectifs anti-ondes décident de s’en mêler.

Comme on le voit, en dehors d’une rentabilité économique incertaine, d’autres menaces pèsent sur le WiMax.